Rassemblement contre l’ANI
Abrogation de la loi de « sécurisation de l’emploi »
Face à l’application de l’ANI
L’agression patronale et gouvernementale
La riposte doit s’affirmer
L’accord national interprofessionnel 2013 transposé dans la loi par le gouvernement reflète la rapacité de la bourgeoisie dans toute sa splendeur.
Les conséquences vont de plus en plus se mesurer, et parmi elles, la multiplication des plans de licenciements avec très peu de temps pour organiser la résistance, les salariés qui siégeront au conseil d’administration pour cautionner des décisions qu’ils seront chargés d’entériner.
On pourrait multiplier la liste des mauvais coups (tant dans les aspects, sociaux, économiques, de santé) contenus dans cet accord qui est devenu une loi. Nous demandons l’abrogation de cette loi de « sécurisation de l’emploi ».
Nous, l’ensemble du monde du travail, nous devons refuser les plans de licenciements dictés par la course au profit qui mène à l’abîme des régions entières en France et en Europe. Ne nous laissons pas enfumer par les capitalistes et leurs serviteurs.
L’agression patronale et gouvernementale
La riposte doit s’affirmer
L’accord national interprofessionnel 2013 transposé dans la loi par le gouvernement reflète la rapacité de la bourgeoisie dans toute sa splendeur.
Les conséquences vont de plus en plus se mesurer, et parmi elles, la multiplication des plans de licenciements avec très peu de temps pour organiser la résistance, les salariés qui siégeront au conseil d’administration pour cautionner des décisions qu’ils seront chargés d’entériner.
On pourrait multiplier la liste des mauvais coups (tant dans les aspects, sociaux, économiques, de santé) contenus dans cet accord qui est devenu une loi. Nous demandons l’abrogation de cette loi de « sécurisation de l’emploi ».
Nous, l’ensemble du monde du travail, nous devons refuser les plans de licenciements dictés par la course au profit qui mène à l’abîme des régions entières en France et en Europe. Ne nous laissons pas enfumer par les capitalistes et leurs serviteurs.